Réponse de l'avocat scientologue aux critiques du New-York Times
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Publication immédiate. CHURCH OF SCIENTOLOGY INTERNATIONAL C'est peut-être la première fois de la longue histoire du New York Times que ce journal fait sa Une, avec photo couleur et récit central, sur une affaire survenue deux ans auparavant et n'ayant subi aucun nouveau développement. C'est d'autant plus surprenant qu'il ne manque pas d'affaires concernant des millions de gens, comme l'affaire du Fond Monétaire International en Corée du Sud, ou l'effondrement économique tchèque, voire l'instabilité du marché monétaire japonais. Quel évènement a donc pris le pas sur les autres? La mort malheureuse d'une scientologue, voici deux ans. Question brûlante: pourquoi le décès d'un catholique, d'un Juif ou d'un protestant n'est-il pas également au premier plan? Il n'existe apparamment pas d'autre solution pour l'église de scientologie d'éviter une attaque grand style à la Une du New York Times: c'est de posséder la Fontaine de Jouvence. C'est probablementr ce que le Times attend de nous: à ses yeux, il n'est pas permis aux scientologues de mourir. Tout ce qui se lit dans le New York Times a déjà été vu dans le Times de St Petersburg : plus de 40 articles au long des mois précédents. Quoi donc nous vaut l'honneur? C'est ceci: Le New York Times savait que cette semaine, les avocats de l'église allaient déposer des preuves médicales cruciales, destinées en particulier à montrer que ce décès dû à une embolie pulmonaire a été tout à fait soudain, malheureux et imprévisible. Une bonne partie de la preuve avait été retenue par le Légiste (ayant pratiqué l'autopsie), si bien que c'est très nouveau. Les preuves nouvelles démontrent que le cas fut monté de toutes pièces, qu'il a été fabriqué et maintenu en vie par le St Petersburg Times en collusion avec le Département de Police de Clearwater et l'office du Légiste. Bien entendu, nous sommes coupables tant qu'on n'a pas prouvé notre innocence. Mais même lorsque nous avons les preuves, on les ignore! Ce n'est pas la première fois que le Times écrit sur la scientologie: en 1984, ils ont fait la Une avec une enquète de l'IRS sur l'église. Il n'y avait pas d'enquète, mais l'article en a provoqué une, comme le Times l'avait voulu. Deux ans et demi plus tard, le Departement de la Justice laissait tomber, n'ayant pas trouvé de données. L'église devait alors payer une pleine page de pub de 80 000 dollars pour corriger l'histoire complètement inventée d'une rencontre avec un ancien haut-commissaire de l'IRS. Le problème, c'est que cette rencontre n'avait jamais eu lieu. Ici, ce serait pareil - mais après que l'église ait dépensé bien de l'argent et de l'énergie à contrer à la vindicte. Pourquoi donc le New York Times n'écrit-il pas la vérité en premier lieu? La meilleure réponse gît probablement en ici: "Les médias protègent les médias". Comment est-ce arrivé? Lors d'une manipulation sans précédent, le St Petersburg Times titrait sur histoire à sensation s'ajoutant à histoire sensationnelle - plus de 40 en tout. Simultanément, ils retenaient leur avocat pour représenter le coroner afin qu'il s'oppose à ce que nous obtenions les preuves médicales qui dévoileraient ce qui était arrivé à notre chère amie et paroissienne. Ils perdirent la motion en justice. Nous savons désormais que les dix-neuf photos post-mortem qu'on nous avait délivré n'étaient pas seules: il en existait 21, et les deux qui manquaient constituaient la preuve supplémentaire. Et voici que débarqua l'attaquant de la Scientologie au New York Times: nous sûmes ensuite que l'avocat/coroner représentant le New York Times était le même que celui du St Petersburg Times! Coïncidence superflue. Voilà une affaire que les médias pourraient investiguer... mais c'est l'un des leurs, aussi ne le feront-ils pas. Les seules autorités ayant supporté les conclusions incorrectes du coroner sortent d'un tabloïde de TV... et où est-il ? Accusé d'avoir caché des preuves en tant que Coroner -- d'avoir cassé des jambes à un cadavre pour frauder les assurances. Par contre, les autorités que nous avons contactées pour examiner les preuves médicales sont parmi les meilleurs experts des Etats-Unis. Les scientologues croient avoir le droit de savoir la cause de la mort naturelle d'une de leurs. Cette information a été retenue; des mensonges proférés dans un tabloïde: ce n'est plus un simple mensonge, mais de la cruauté. Pour ne rien rappeler de l'attaque du New York Times à la Une sur une affaire n'ayant jamais fait l'objet d'aucune enquète. Nous demandons ceci au New York Times: Pouvez-vous mettre votre agenda à la poubelle, que les scientologues puissent mourir en paix? Ou n'avez-vous aucune limite? Elliot Abelson, Esq. Avocat de la scientologie
NOTES: 1/ Elliot Abelson, avocat , a fait sa renommée en défendant essentiellement des pornographes. Je dirais donc "avocats marrons, avocats de la pègre ou de la maffia", s'il faut qualifier ce type de spécialiste. Bien sûr, il en faut peut-être? 2/ Comme le souligne Bagheerra sur alt.religion.scientolgy en répondant à ce message: "Chers amis, voici le dernier message ultra fallacieux de l'escroquerie se qualifiant elle-même d'église, voici la dernière invention de l'ultra-violente, ultra-totalitaire, ultra-paranoïaque "église de scientologie". 3/ Quant à moi, qui connais les ressorts de cette escroquerie en laquelle j'ai cru huit ans durant avant de la quitter, je peux dire que les scientologues, même entre eux, ne disent PRESQUE JAMAIS la vérité des faits de la secte, et ce, même au sein d'un couple, ou entre parents et enfants! Ils mentent pour des raisons multiples:
Leurs motivations positives sont du même acabit:
Vous, vous effacer vous, si vous n'êtes pas d'accord avec eux. Les Envahisseurs sont de retour! Roger Gonnet |
7.En
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