La scientologie pratique la séquestration arbitraire, même envers des clients lui ayant payé des millions



 

Note: la scientologie se rend ici coupable de séquestration arbitraire d'une durée supérieure à une semaine ce qui serait passible de 20 ans de prison en France. Si de plus, la victime est mutilée ou qu'elle souffre d'une infirmité permanente après son incarcération illicite, 30 ans de prison, et à perpétuité si elle subit des actes de barbarie ou la mort. (articles 224-1 et 224-2 du nouveau code pénal)

 

A propos du Freewinds, le navire de la secte scientologie

(message passé sur alt.religion.scientology, par Zorrosblade, en octobre 2000 - invérifié. D'autres exemples existent)

 

J'ai rencontré un vieil ami scientologue. Je ne l'avais pas vu depuis des années, on s'est vu dans un café à Hollywood et on a discuté de ce qu'il avait fait sur le navire appartenant à la Scientologie, le Freewinds. J'avais déjà signalé dans la conversation que je n'avais plus rien à voir avec cette organisation et donc il a pu me raconter sans retenue ses mésaventures abominables avec la scientologie.


Je n'oublierai jamais ce qu'il m'a raconté à propos du "Free Winds". Pour résumer, il a commencé à avoir des ennuis éthiques avec "l'officier d'éthique" du bateau qui lui a ordonné de rester à bord et de ne descendre à aucun port, tant que sa situation "éthique" n'aurait pas été éclaircie. Il était entré à bord du navire pour entreprendre l'audition d'OT8 mais il a commencé à avoir des ennuis avec "l'officier d'éthique" du bateau. Il était absolument livide quant au fait qu'il avait été séquestré à bord et qu'il ne pouvait sortir en aucune circonstance. IL NE POUVAIT ABSOLUMENT PAS SORTIR! Je lui ai demandé ce qu'il avait fait ensuite. Il a dit que cette séquestration avait duré une quinzaine de jours. On ne lui permettait même pas d'étudier ou de prendre ses cours, puisque il avait envoyé paître l'officier au sujet du programme d'éthique, si bien qu'il errait toute la journée sur le pont en devenant cinglé et en se demandant comment il allait pouvoir se libérer.


Il avait tellement perdu l'espoir de recouvrer la liberté qu'il a commencé à imaginer un plan pour "s'évaporer" physiquement en filant par la chaîne d'ancre du bateau qui est paraît-il énorme par rapport à lui, il doit mesurer 1,70m. Je lui ai dit qu'il aurait pu se tuer s'il avait glissé de la chaîne, et qu'il aurait pu tomber du haut du pont dans l'océan. Il me dit qu'il le savait, mais qu'il était prêt à tout, parce qu'il ne supportait pas d'être ainsi gardé prisonnier à bord, même si l'officier d'éthique n'était pas d'accord sur le terme employé pour désigner son incarcération... Mais finalement, en réfléchissant au danger que cela représentait, mon ami a décidé d'attendre. Il a même tenté de s'évader la nuit alors qu'il n'était pas surveillé. Maintenant, je voudrais dire que c'est quelqu'un qui a quand-même dépensé près de 500000 dollars en tant que public au sein de la scientologie... C'est 3,5 millions de francs... Il avait pourtant payé son logement à bord et ils ne voulaient même pas le laisser partir. L'officier d'éthique gardait son passeport.


Il a finalement résolu l'affaire en mentant à l'officier d'éthique, il lui a raconté qu'il fallait qu'il aille faire quelques courses de première nécessité au port, et elle l'a tout de même relaché parce qu'il ne réclamait pas son passeport et qu'il n'enmenait aucune de ses affaires. Il avait déjà pris la décision de laisser ses bagages, ses vêtements, et son passeport pour pouvoir quitter le "Free Winds". C'est ce qu'il a fait. Je me demande comment il a réussi à sortir d'un pays étranger et à obtenir le retour de ses papiers aux US, ça c'est son problême. Mais il m'a dit qu'il se fichait bien de son passeport et que la seule chose qui comptait alors était de quitter ce bateau. Au moins, il aura gouté pendant un moment à la liberté de-----"l'endroit le plus sûr de la planète".


Ajoutons que d'autres sources fiables nous ont fait savoir qu'une personne partant pour quelques jours sur le Freewinds risquait de s'y trouver bloquée plusieurs semaines ou mois... même si elle a des obligations de travail ou de famille.